le Manuscrit Voynich

 le Manuscrit Voynich
par
Dennis J. Stallings

En 1912, Wilfrid M. Voynich (un marchand de livres rares) a acheté un manuscrit mediéval (235 pages) écrit en un alphabet inconnu et ce qui semble être une langue inconnue or un chiffre du Collège Jesuite à la Villa Mondragone, Frascati, Italie (proche à Rome). Pourtant, en dépit des efforts de beaucoup de cryptologistes et scholaires, le livre reste impossible à lire. Actuellement le Manuscrit Voynich se trouve à l'Université Yale, a la Bibliothèque Beinecke de Livres Rares, depuis 1969, au numéro de catalogue MS 408.
On sait (d'un lettre de J. M. Marci en 1665/6) que l'Empereur Ruldolf II de la Bohémie a acheté le Manuscrit pour 600 ducats d'or (plusieurs centaines de milliers d'€  en pouvoir d'achat actuel). Le Manuscrit d'une façon ou d'autre a passé à Jacobus de Tepenecz, le directeur des jardins botaniques de Rudolph (on peut voir sa signature sur folio f1r sous la lumière infrarouge) et il faut que ça s'est passé apres 1608, quand Jacobus Horcicki a reçu le titre de noblesse "de Tepenecz". Ainsi 1608 est la date définitive la plus ancienne du Manuscrit.
On appelle ce manuscrit le Manuscrit Voynich (ça se pronounce "Voïnitch"). On utilise "le VMs" en abréviation. Le Manuscrit Voynich contient beaucoup de dessins de plantes, mais les plantes reste inidentifiées, et les dessins ne ressemblent pas aux dessins deformés et chimeriques bien connues des Moyens Ages. Il y ont des pages qui ressemblent aux dessins astrologiques. Il y ont de curieux dessins de petites femmes nues se baignant en des bains avec de la tuyauterie bizzare. Les personnages et les costumes semble généralement européens. L'écriture semble avoir étée developée des numéraux Arabique précoces, des abréviations et embellissements du latin mediéval, et des écrits chiffres de la Renaissance. Le Manuscrit Voynich ressemble un peu a beacoup de choses mais vraiment rien d'autre; c'est un objet completement unique.
D'abord, les analyses statistiques par ordinateur du Manscrit Voynich n'ont qu'approfondi le mystère. On a trouvé qu'il y ont deux "langues" ou "dialectes" de voïnitchais, qui on apppele Voynich A et Voynich B. La répétitivité du texte est évident à un coup d'oeil bref. On a essaie d'utiliser l'entropie, un concept de la théorie d'information, de mesurer la répétitivité du texte. Le plus bas l'entropie, le plus répétitive le texte. L'entropie des échantillons du texte Voynich est plus bas que la grande plupart des langues naturelles; seulement quelques langues Polynésiennes ont des entropies aussi basses.
La liste e­mail du VMs, qui marche depuis 1991, a fait du progrès significant. Les entropies basses du texte VMs pourraient être le résultat d'un système d'écriture qui utilise plusieurs lettres pour un phonème, et aussi des paradigmes que la plupart des "mots" suivent. Des essaies sur des textes connus montrent que les langues "A" et "B" pourraient être à cause de matières différentes de discution, d'auteurs differents, ou un seule auteur à travers une longue période de temps, quoiqu'il reste quelques statistiques qui montrent une différence grande entre "A" et "B". Dans un texte bien connu à propos de la paléographie mediéval, on a vu des embellissements des lettres en un message qui sont identiques aux lettres appellés "lettres de pôteaux". La date du VMs est probablement les ans 1400 tardives à cause du ressemblance des lettres a un style "main humaniste", utilisé seulement pendant quelques décennies du XVme siecle, et aussi à cause des styles des chevaux des nymphes, qui indique 1480­1520. Professeur Sergio Toresella a écrit un papier sur les "herbaux alchemiques" qui ressemble le VMs par avoir des images de plantes chimérique et des charmes, enchantments, et incantations écrites, quoique en facilement reconnu italien mediéval. Le plus grand expert vivant en alchimie occidentale, Adam McLean, a eliminé la possibilité que le VMs est un texte primairement alchimique. Des recherches ont découvert beaucoup plus à propos de l'histoire du Manuscrit depuis de Tepenecz .  

lien vers les photos du livre en haute résolution ;



http://beinecke.library.yale.edu/dl_crosscollex/SetsSearchExecXC.asp?srchtype=ITEM&curpage=1

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